Voici deux anciens textes
Il écrit.
Dans la Noirceur de sa vie, la souffrance de son Être,
Dans les Pleurs de son corps, il se nourrit et s'inspire,
Dans son Âme tourmentée, dans son Esprit embrumé,
Jamais la Lumière ne sera sienne, les Ténèbres pour seule Famille,
Il écrit.
Des lambeaux de peau pour seule Carapace, il affronte la Vie,
Sa vie, chaque jour, Combat perdu d'avance, habitude,
Désespoir extrapolé, par des blessures jamais cautérisées,
Couteau toujours planté dans le Coeur, rappelant Déceptions à tout heure,
Il écrit.
Le fond du gouffre pour Refuge, l'Antre de la Folie pour berceau,
Avec l'envie de l'Inexistence, viendra le temps de la Transparence,
Complaisance volontaire dans son Mal-être insondé, puissance insoupçonnée,
Il écrit.
La Mélancolie pour amie, la Solitude pour amante, il attend,
Sa source d'inspiration, sa prochaine désillusion,
Désespérément Seul, aucun point d'ancrage, aucune main tendu,
Il n'en veux pas, il attend, Celle, la Seule, pour qui il donnera Sang et Vie,
Elle fera battre son Coeur.
Il écrira.
Mais rien ne dure, Elle et Lui, redeviendra seulement Lui,
Ralentissement des battements, Coeur en glaciation, hypothermie sentimentale,
Il écrira avec sa Rage et son Chagrin, à l'encre de ses Larmes...
Elle viendra frappé à sa porte, il la reconnaîtra, ils s'étaient déjà croisés,
Elle vient le chercher, La Mort, Dernière faveur,
Il écrira,
Une dernière fois, ses derniers mots, les seuls qui ont compté "Je t'a...."
Et s'en ira, dans le silence de son inexistence ...
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Après la Mort, Il écrit encore...
Déambulant sur les Rives du Styx, il écrit,
Même à travers la Mort, l'Enfer est sa véritable demeure,
Il écrit comme jamais, L'Eternité comme partenaire,
En ce lieu si promptement appelé Enfer,
Lui, il écrit, Emerveillé par tant de Ténèbres, envoûté,
Noirs desseins pour une sempiternelle Inconstance,
Il écrit,
Sur les Cerbères, et autres Chimères,
Sur son Envie encore latente de Mourir, d'en Finir,
Il n'est plus qu'une enveloppe, Corporel et Charnel,
Son cerveau en cadeau, ses Idées en bataille,
Il écrit toujours,
A travers la Mort Il voulait l'oublier, la Noyer dans son Chagrin,
Qu'Elle le pleure encore et Encore, jusqu'à sa propre Mort,
Qu'ils soient réunis, Ici, en cet Asile, devenu sien,
Ou Peine, Souffrance et Chagrin, sont Amis communs,
Ils auraient écrit,
Allongés, regardant les Âmes errées, A travers La Mort,
Ils auraient pu s'aimer, se Retrouver, Echanger et Partager,
En ce lieu, pour lui, si Sacré, L'Enfer, mère de son inspiration,
Soeur de sa dévotion, Ecorché il était, Ecorché il est resté,
Mais il en est tout autre, Lui ici, Elle ailleurs,
Eloignement sensoriel, rêve d'Oniriques retrouvailles,
Sa Solitude, toujours présente, Même mort toujours pesante,
Il écrit,
Il a l'Eternité pour écrire, sur Son Absence,
Elle qui devait toujours être là, Rien, même pas son ombre,
Même pas les volutes de son parfum, Rien,
Posant son stylo, il regarde les méandres du Styx,
Dansant comme un ballet Russe, il ferme les yeux,
Instant unique, Tragique et MéloDramatique,
Il pleure, une Larme sur la joue,
Il va écrire...
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Des textes pour montrer que tout n'est pas noir *-*
Car tu le sais très bien, écoute moi...
Les formes de ton corps alimentent en moi.
Le désir irrésistible de t'élancer contre moi.
Tes lèvres me donne le goût de t'embrasser,
D'une façon jusqu'aujourd'hui jamais ateinte.
Tes yeux, d'un Air charmeur me fais dévié mes pulsions.
Je ne peu plus me contrôlé...maintenant je suis a toi.
Je pourrais faire tout ce que tu désir,
Les yeux fermés dans la nuit jusqu'à ce que le soleil se lève.
Ton regard me donne des chaleurs et des envies.
Si je pourrai arrêté le temps, je le ferai,
Pour t'admirer comme personne ne la jamais fait.
Dans le noir, même si je voie rien...je te sens,
Et je peu pas m'empêché de crié ton nom.
J'ai envie de me perdre dans le bleu de tes yeux.
De sentir la chaleur de ton corps m'envahir.
J'ai envie de entendre tes soupires dans cette vague de silence.
De sentir cette main tremblante me caressé le visage.
J'ai seulement envie de toi....de t'aimer.
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Passions et obsessions
Ne sont que déraisons
De douces régressions
D'une faible raison
Que ne t'ai-je plus aimé
Et dit ces mots éternels
Intemporels et charnels
Que je gardais enfermés
Je t'ai aimé au-delà du temps
Enchaîné à l'espace et aux mots
Que ne te l'ai-je dit Quel idiot
Je ne puis vivre qu'à contre-temps
Mes nuits tu reviens hanter
Me torturer m'enchanter
A ta mémoire m'enchaîner
Comme un Sisyphe entravé
Passions et obsessions
Ne sont pas déraisons
De tendres transgressions
D'une belle floraison
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Un petit exercice de style pour toi Sid *-* (prenez la première lettre de chaque ligne *-* ça donne une phrase *-*)
Strictement organisé par notre destiné, mon amour, mon amie
A puisqu'il nous faut dire l'amour et l'amitié
Bon il nous faut choisir le sentiment parfait
Rire aux éclats, rimer avec le temps
Il n'y aura jamais l'un sans l'autre, mon ange
Ne penses tu pas qu'on partage toujours ce qu'il y a de bon
A bas ce qu'il y a de moins bon, au fond ça c'est la vie
Que reste t’il, dans ce monde de plus jolie que toi ?
Un rien qui ne fait pas tout et qui au fond ne te vaut pas
Innocent, quand je vois ou que je parle avec toi, la joie
Même si, loin de toi, mon cœur se trouve, bel ange
En lui, coule toujours le sang de l’espérance, ton « tout » le hante
Pense bien, que chaque mot est cent fois mesuré
Le moindre accord est durement réfléchit
Autour de mon écrit, un message pour une vie
Illisible en mes pleures, sublime qu’à travers ton regard
Terrible de ne point te connaître, mais ce n’est plus mon cas
Faut croire qu’on se ressemble, qu’on aime parler ensemble
Or chaque soir il me tarde, de pouvoir te parler, te raconter tout et rien
Rien de plus beau que ces doux moments là, penses tu la même chose ?
Tant que la lune et les étoiles brilleront autour de nous
Et que le beau soleil de ton cœur illuminera mes pleures
Mes rêves seront toujours, les mêmes, et parleront de toi
En tout point tu seras, celle que j’aimerais plus découvrir encore
Ne t’en fait pas la belle, tu vaut mieux que ce que tu crois
Tu es la fille au monde qui me plait le plus
Y a-t-il un seul espoir que ces mots touchent ton âme ?
L'Amour est le fruit d'une passion innocente
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Un petit texte pour toi Thäo'S
Oui, je l'avoue des fois la nuit,
Je rêve, de son joli petit cul,
Je me vois quand je soulève,
Son joli petit cul,
Il m'arrive aussi de caresser,
Son joli petit cul,
Non je n'ai pas honte de le dire,
Mais il m'arrive de la prendre,
Par son joli petit cul,
Aussi mes amis, comme une prière,
Je vous demande :
Si un jour je vous la prête,
Ne la laissez pas tomber,
Car vous riqueriez de casser
Ma bouteille.
( JE VOUS RAPPELLE QUE LE FOND D'UNE BOUTEILLE SE NOMME AUSSI LE CUL )
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Sam 3 Mai - 15:09
